Voilà, c'est fini. J'ai trouvé ce voyage long et malgré tout, c'est déjà fini! J'ai même été prier avec les moulins à prière pour finir cette aventure... Je sais vous n'allez pas me croire et vous avez bien raison, mais j'ai trouvé ça beau et intéressant visuellement!
Ce matin je me suis levé à 5h pour accompagner mes 2 infirmiers à l'aéroport qui eux volaient avec Aeroflot. Ce fut un déchirement de laisser partir Michel et Christel (pour Kiki, tu vois j'ai enfin bien écris ton prénom!!!). Il y a 3 semaines, on se connaissait pas. Et aujourd'hui, j'avais l'impression de perdre des amis... J'espère un jour les revoir... Michel, je sais que tu vas me lire, je te souhaite plein de bonheur sur les îles Marquises... Christel, merci pour ton aide, je te souhaite aussi plein de bonheur. Vous le méritez largement tous les deux.
Pour ce qui est de ce voyage, je vais sortir les banalités d'usage:
* une aventure extraordinaire
* des gens fabuleux
* des personnes avec le coeur sur la main
si c'était à refaire... et bien j'y retournerai.
J'éviterai juste de manger Coréen le dernier jour!!!!! Sans déconner, j'ai fait super gaffe pendant 3 semaines. J'ai pratiquement manger du mouton tous les jours. J'ai bu le thé local avec du beurre salé dedans... J'en passe et des meilleurs! Bref mes intestins en béton... presque le sans fautes...
Tout ça pour me finir avec une petite bouffe coréenne hier et je vous passe les détails...
Bref, le voyage s'achève, l'aventure aussi. J'ai terminé mon tournage Mongole avec l'interview de Yves devant le parlement. Je ne suis pas mécontent que cela se termine et pouvoir enfin me reposer!
Pour ceux que cela intéresse, j'ai décidé de continuer ce blog pour faire état de l'avancement de ce projet pharaonique. Tout simplement j'essaierai d'étaler à la face du monde mes différents états d'âme. Je sais c'est prétentieux, mais vous ne pouvez pas imaginer à quel point cela m'a aider de vous relater quotidiennement mes aventures Mongoles. Je n'avais pas l'impression d'être seul dans cette steppe immense. Parfois il suffit d'un rien.